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 Whareffe Al Kabir ibn Akim

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Whareffe
Pj Niveau 1
Whareffe


Messages : 68
Date d'inscription : 17/09/2009
Age : 35
Race : Arabe (d'origines Sudaiste)
Carrière : Apprenti arts martiaux
Votre Mj : Thanatos Sacray

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MessageSujet: Whareffe Al Kabir ibn Akim   Whareffe Al Kabir ibn Akim Icon_minitimeLun 21 Sep - 12:16

Je me nomme Whareffe Al Kabir fils d'Akim Alkabir le grand marchand... Jsuis originaire d'une tribu guerrière Sudaiste qui a été réduite à l'esclave par le peuple auquel j'appartient aujourd'hui...

Mon père, de sang pur, était l'héritier d'une grande famille prestigieuse de marchands Arabe. Cette même famille qui avait réduite à la servitude mes ayeux au sein de leur domaine. J'était un sang coupé,...impure,...et seul le prestige de mon père m'accordais aux yeux des autres l'apartenance au peuple Arabe. Ma mère, esclave péri peut après ma naissance, et la blessure de l'amour que lui portait mon père se ressentais à chaque instant dans ses yeux...une part de cet amour qu'il reportait sur moi...J'étais à cette époque son aprenti et l'accompagnais à ses activité commerciales. Il voulais faire de moi que j'aquière le don du commerce et que je m'occupe de notre vaste écurie entant que grand chamelier, et cela me plaisais...

Ma vie était assez paisible, je vivais dans une villa et mon terrain de jeu était notre gigantesque jardin d'eden pourvu de fontaine dégorgeant d'eau cristaline. Ma famille n'était plus esclave mais restait attaché à la famille de mon père entant que servant et me concidérais aussi toujours comme un des leur...oui...je vivais bien...je ne manquais de rien... Seulement le destin amena la pestillance et cette armée de squelette monté sur chameaux et éléphants mort depuis des décénies, et me voilà maintenant seul,...rescapé au massacre...seul...dans la nuit glaciale du désert...parcourant les dunes instables cachant mille danger...et depuis 3 nuits je suis cette étoile au nord qui me mènera à ma destinée...

Esclave d'un jour...

...Au quatrième jour dans le désert, j'avais rejoind grace à la volonté des dieux un oasis dans lesquel j'ai pu m'aprovisionner de dates et d'eau...fatiguer de ma traversé interminable dans ce fourneau de désert, je m'étais assoupi au pied d'un palmier...

Alors que je me m'éveillais, je me trouvais baloté dans une cage de bois qui penchais d'avant en arrière au dessus du sable entre deux chameau qui la portait...je me trouvais dans une caravane marchande au beau milieu du désert. Ma conscience me pris alors et je compris que ma couleur de peau avait trahi mon origine arabe. Pour eux je n'était qu'un Sudaiste en cavale dans le désert, pour eux je serai bientot le fruit de leur labeur... J'appris de mes ravisseurs que j'allais être destiné à la grande citée arabe...Barak Varr...Ils disaient de moi être un bon spécimen de rare qualité et qu'ils allait me présenter à la gigantesque vente d'esclave au grand bazar de Barak Varr.
La caravane était preque aussi grande que celle qu'organisait mon père et cela était impressionnant car ces arabes là n'étaient que de simples nomades marchands qui parcourais le désert de ville en ville...

...Un maître Nipon...

Le voyage fut interminable et très éprouvant jusqu'au jour où nous arrivâmes aux portes de Barak Varr. La citée gigantesque était d'une beauté indescriptible. Mille commerces étaient établi à même les rues. Jamais n'ai-je vu autant de monde rassemblé dans un même endroit. Milles odeurs halècheante flotaient autour de moi,...mille femme sublime habillées aux milles couleurs, mille caravanes parcourai les rue en direction de là où j'allais être vendu...

La bazar se trouvai non loin de là où nous sommes entré mais il nous a fallu un temps interminable avant d'y arrivé. Il y avait une foule indescriptible et les odeur présentes étaient plus ou moin irrespirable. Cela arrivai de déjections animal à l'odeur du moisi, de sueurs, et de rats morts. Le chamelier de la caravane était aussi le chef de la tribu marchande. Il parla longement avec un contremètre et nous fumes moi et les autres esclaves installés sur une grande estradre située sur une place ensoleillé, enchainé comme des bêtes.

Avant que l'on me sorte de ma cage, un homme aux yeux bridés et au visage ridé par le temps me dévisageais. Lorsque je fu installé nu comme un ver,...enchainé sur un des poteaux de l'estrade avec pour simple habit un tissus enrouler afin de caché mes attribus, le veillard était toujours présent à m'identifier au loin de bas en haut. La vente fu ouverte et je vis le veillard allé parlé au chef de caravane. Tout deux montèrent sur l'estrade tandi que des gens déjà dessus nous examinais tous un par un dans les moindres recoins. Deux hommes voulaient faire de moi leur esclave et se disputaient en faisant monter les prix. Le vieillard quand à lui restait là à parler au chef tout en continuant à me dévisager. Une sorte de vente aux enchère établissait entre les deux hommes devant l'esclavagiste qui profitait en accentuant sur ma qualité et ma jeunesse afin de faire monter les prix. Ma valeur monta à des sommes exorbitante tandi qu'un autre homme avait pris part au enchère sur ma personne.

Alors que l'esclavagiste allait adjuger un dernier prix, le vieux Niponais s'avanca de plus près avec le chef et suranchéri d'une voix haute devant la rumeur et les étonnements de la foule qui avait participé à cette vente absurde. Je fu détaché et rendu au veil homme par une laisse de chaine. Les clef de mes liens fu donner au vieil homme qui me libéra de tout liens devant mes ravisseurs surpris...

"Je ne cherche qu'un aprenti qui me suivra et qui portera les bagages insoutenable que mon dos ne peu plus soutenir aujourd'hui." Dit-il "Pas un esclave ni un serviteur." Il sorti de son sac de tissus un pagne qu'il me mis sur le dos. " Si tu veux être mon aprenti jeune homme, commence déjà par avoir une tenue descente! Très bien allons y, nous avons du chemin à faire et mes vieux os désirs retrouver le confort de ma paillasse" me dit-il.

*Si tu veux ?!*, *Le confort d'une paillasse ?!?* Cette homme m'intriguais et alors que j'était moi même surpris par sa façon d'agir avec moi, celui-ci commençait déjà à descendre les marches de l'estrade sans s'inquiéter de voir si je le suivait ou pas...

La voie de la maitrise de soit...

Le vieux vivait du coté du bidon ville de la cité, dans une biquoque d'infortune qu'il avait appellé "palace" alors qu'il m'invitait à y entrer. Il me fit part des activités auxquelles il voulais m'affecter. Préparer son thé, nettoyer sa masure crasseuse, rapporter de l'eau, allé acheter des provisions du marché, préparer la nourriture et en contreparti me disait-il, il m'aprendrai l'art de la maitrise de son corps...Quelque chose chez lui me poussais à rester avec le vieil homme. Depuis la destruction de ma ville natale par l'armée des morts, il fut le premier à me demander d'où je venais, qui j'étais et il m'écoutait...je fini par comprendre se qu'il appelais l'enseignement de la maîtrise de soit. Il me disait qu'on appelais cela les arts martiaux dans l'empire Nipon. Ils avaient une façon de percevoir le combat autrement que nous et leur façon de lutter à mains nues était différente, plus acrobatique, fluide et surtout très réfléchi. "Beaucoup d'hommes se laissent guider par leur membres que d'utiliser sa tête avant de frapper" disait-il "Beaucoup se laisse guider par leur sentiments, la peur ou la haine au lieu de la maitrisé et la surpassé car seul l'homme serein saura arriver à bout de l'homme en rage..."

Je pris vite gout à son aprentissage. Je n'était que le fils d'Abdel Akim Al Kabir le grand marchand. Je ne savait pas me battre, ma destinée me promettait d'être un simple érudi du savoir du commerce et si de nouvelles mésaventures m'arrivais l'aprentissage du vieux Huong me servira à me défendre...

Maitre Huong ( comme il voulait que je le nomme ), commenca par m'aprendre la méditation pour le controle de soit et de ses émotions, puis il m'apris à déguster et reconnaitre les différents types de thé afin dévelloper mes sens. Pour ma souplesse et mon équilibre il m'enseigna le yoga, un art où il faud effectuer des gestes souples et lents en tenant l'équilibre dans différentes postures. Pour finir il m'apris l'art du combat. Afin déveloper mon calme,ma patience, ma vivacité et ma précision il m'exerca à rester assis des heures durante attendant la prochaine mouche que je devait attraper et enfermer dans un bocal sans faire sortir les autres. Pour mes reflexes, le vieux fou me jettait des cailloux à la figure et le but était d'esquiver sans faire de pas, sinon celui-ci me donnait des coups de batons que je devait bloquer avec mes avants bras et tibias "...pour les durcir et t'aprendre à paré les coups au bon moment" disait-il ! Puis, il m'aprit les gestes de l'art martial et pour ma précision, il installait des roseaux debout et coincés sur une planche à un intervalle serrée et le but était de les pliés un à un sans toucher les autres.

...De nouveau en cavale...

Mon aprentissage durat plusieurs années. J'était à ma vingtième saison quand j'ai trouver maitre Huong assassiné alors que je revenais du bazar. Les gens ne tardèrent pas à accuser le noir qui lui servait d'esclave, c'est à dire moi... Alors que les gardes descendait la ruel du bidon ville jusqu'à la biquoque, ma seul réaction fut la fuite.

Echapper à une dizaine de gardes en traversant les rues d'une si grande cité dans laquelle faire un paté de maisons reviend à passé un temps interminable était tout bonnement impossible. Mais l'aprentissage du Maître Huang m'avantageais devant quiconque. Je ne tardai pas à semer les gardes en escaladant et sautant sur les toits et évoluant facilement dans des endroits étroits. L'art que m'avait apris maitre huang portais déjà ses fruits et l'interet du dure aprentissage que j'ai subit se faisait ressentir...

C'est dans le port de Barak Varr que j'eu trouvé le meilleurs moyen de sortir de la cité entourée. Un bateau Tiléen était prêt à largué les amares. Discrètement j'ai pu me glissé dans l'eau et nager à un cordage du bateau qui pendait presque sur la surface de l'eau. Quand le navire mis les voiles, acroché au cordage je me laissait glisser dans l'eau, appuyé contre la coque tapissée d'algue. Ainsi par chance je ne fu pas repéré lorsque que le bateau sorti du port pour la grande mer.

La côte était bien loin et acroché au navire de commerce Tiléen, je me demandais bien comment j'allais faire pour me sortir de cette mauvaise posture quand le cordage commença à tirer vers le haut, manquant de le lacher. "Cap'taine Cellini ! L'cordage à acrocher à quequ' chose ! j'ai du mal à le r'monter !"

Mon coeur se mis à battre et mon soufle se coupa. Le problême dorénavant était de trouver de quoi m'acrocher au bateau pour ne pas me retrouver seul en pleine mer, et au pire le port de Barak Varr qu'à une centaine de mètre derrière ! La coque était trop glissante et la mousse verte qui la tapissait était trop instable pour m'y acrocher, et aucun autre cordage où m'acrocher ! Je perdais mon calme, mon sang froid. Il me paraissait bien plus facile de controler mes émotions et rester calme lors des exercices du vieux Huong. Mais là, je savais que si j'était découvert, le port n'était pas bien loin et j'allais denouveau perdre ma liberté voir pire...

Alberto Cellini...

"Un homme à la mer !!!" Ces mots me figeat sur place et je allais lacher de nouveau le cordage si une vague plus grosse que les autres m'aurais pas rappelé dans quelle situation j'était. *Sayè, je suis découvert et j'vais terminer ma vie dans une geole humide, au pain moisie et à l'eau croupie...* me suis-je dit. C'est alors que des ordres retentissaient au dessus de moi."Quatre hommes à babord sur l'arrière du pont ! Jetez l'encre !! Et remonter moi vite cet abruti de matelot qui est tomber à l'eau à peine sorti du port !!!" Cramponé à la corde je ne savais plus quoi faire, j'était découvert et tous se dont j'avais envie sur le moment était de disparaitre et me retrouver dans un oasis verdoyant, libre comme l'air...

La corde me hissais jusqu'au haut du pont. Mes jambes avait quiter l'eau et un des marin qui surveillait le "sauvetage" réalisa qui j'était vraiment... " Mais qui qu'c'est s't'énergumène ! Cap'taine ! L'est pas d'chez nous c'ui là !". Un homme mal rasé aux épaules massif et coiffé d'un tricorne se pencha de la palissade de sécurité. " tien donc ! Mannan nous à fait offre d'un drole de spécimen de poisson ! Remontez moi ce marlot et mettez y plus d'entrain !" Je fus remonter jusqu'au pont et deux hommes m'aida à passer au dessus de la palissade avant que je ne finisse cul à terre. Le capitaine escorté de 7 hommes m'encerclaient en me dévisageant de haut. Je ne savais que dire, le capitaine me tendis main et me releva aussi sec que j'étais tombé sur le pont...

"Capitaine Cellini, seul maitre à bord du batiment...alors comme sa l'clandestin ! On souhaite rallier Barak Varr à Nuln sans payer l'voyage ?!..."

embauché matelot...

Voilà 3 jours que je vogue sur le navire du capitaine Cellini sur le fleuve menant à Nuln. Le jour où il m'avaient ramenez à bord, je lui avait décliné ma situation depuis le raid monstrueux de l'armer des mort sur ma ville natale. Il m'avait embauché comme matelot de troisième orde. Je n'avais aucune connaissance en navigation, alors je m'occupais à lustrer le pont, nettoyer les calles, aider aux cuisines et tisser les voiles. Esclave, serviteur, matelot de troisième ordre, le travail ne changeait guerre à une différence près, pour la première foi de ma vie, je fut payé à raison de 2 sous par jours en contre partie de mon labeur...

Au 4ème jour, nous commencions à entrer dans les terres l'Empire. La gigantesque chaine de montagne qui marquais la frontière entre L'arabie et l'empire n'était qu'à quelques noeuds. Alors que nous entrons dans la vallée qui marquais le passage frontallier, nous avions subit une embuscade de la terre par des pirates de l'orient qui avait abordé le bateau à l'aide de petites barques...

Ce jour là, j'avais cru mourir avec les 8 autres malheureux de l'équipage. Sans l'aprentissage de maitre huong, je me serai certainement retrouver dans le domaine des morts. Mes prouesse en art martial avait impressionné Cellini que j'avais sauvé au niveau de l'avant coque contrez un de ses barbares. Celui-ci m'offra en reconnaissance de nouveaux quartiers et me permit de garder le butin ramassé sur les cadavres pirates aulieu de les rassembler dans le pot des butins.

Je fut surpris de voir combien des pirates aussi riches pouvait-il s'adonner encore à ses vils embuscades, mais ma surprise pris fin alors qu'à une lieu de là nous avons découvert ce navire de commerce échoué et sabordé sur le rivage, les corps encore sanguinolent...

...Le port de Nul...

...De nombreux jours s'était passé depuis et nous arrivâmes en vu de la cité de Nuln. En raison du sous effectif de l'équipage, deux jours après l'attaque, nous avions accosté une petite ville portuaire. C'était la première foi que je voyais autant de roumis rassemblé au même endroit mais j'avais de toute façon l'habitude de me sentir étranger. Le climat était bien plus froid que sur le désert et avec l'aide de ma solde et du butin ramassé, je me suis acheter pipe, herbe à fumé, pierre à feu, vêtements ample, une belle cape de laine grise ainsi qu'un sac pour y mettre toutes mes affaires. J'étais paré pour la vaste Empire et le navire de Cellini venait tout juste d'accoster....
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